Certains, comme Marcus Garvey de l’« Universal Negro Improvement Association (UNIA) » (l’Association universelle pour l'amélioration des Nègres), ont prôné un retour dans la patrie africaine. D'autres, influencés par le désir de Garvey d'élever les Afro-Américains, ont adopté une approche différente.
De tels mouvements sont apparus au cours des premières décennies du vingtième siècle, chacun ayant le désir d'atteindre l'égalité, un focus sur l'histoire culturelle, et un besoin de terre comme signe de pouvoir.